Deliver to Portugal
IFor best experience Get the App
After Dark, My Sweet
D**N
Often overlooked Neo-noir
I forgot how good this movie was. Great performances by all. One of the best Jim Thompson adaptations out there.
K**S
and Bruce Dern's acting temperature barely gets above a bored simmer. Thompson bloggers identify this as one of ...
An almost overly faithful adaptation of the Thompson novel, which doesn't bring the magic of cinemato this adaptation of the crime master. It's more or less a shoot-by-numbers flick, and although Patric bringsa lot of work ethic to the lead, Rachel Ward is awkward and mannered, and Bruce Dern's acting temperaturebarely gets above a bored simmer. Thompson bloggers identify this as one of "the two best American screen adaptations"of his work, the other being the now-classic THE GRIFTERS, but that's kind of a sad statement, giventhe screen potential of the many books - and of course the qualifying adjective "American" leaves laudatory room forTavernier's COUP DE TORCHON, still the reigning champeen of Thompson-adaptation movies (from POP. 1280).As a final cri-de-coeur, when will a great director approach the most radical and experimental of the books,SAVAGE NIGHT?
A**R
Patrick shines in spite of numerous shortcomings.
All the best moments in this film -- and what comes closest to achieving the essence of the book's feeling -- is when the camera is on Patrick and he's allowed to do his thing. More often than not, however, a weak supporting cast (Bert, Doc, Cop), criminally bad casting (Ward), and a zealous adherence to the book's text, serve to weaken the whole undertaking.
A**G
Thank you Roger Ebert
I only bought this after accidentally bumping into Roger Ebert's eloquent, and as always, deeply perceptive review of this film, which is in his The Great Movies list. I'm ashamed, this being 2012, never having even known this movie existed since 1990. Very surprised to discover Jason Patric's top notch performance as a mentally unsound but empathetic ex-boxer. After a performance like that, how did he not get offered better roles and worse still, ended up in the abysmal Speed 2? A slow pace daytime noir where almost everyone is heading towards their doom. Rivetting stuff. Definitely worth a 2nd viewing. Sad that I had to fork out USD 14 (including shipping) for a bloody DVD. Where's the blu ray?
S**R
pretty good noir
Not the best, but Bruce Dern lifts it from mediocre to very good.
W**N
a character created with depth
an exciting watch. the major attraction here is the finely crafted acting by Jason patric. this is the Jason he can be with roles and characters as this is. he doesn't need flash and boom...he creates it.
R**A
Jason Patric
I love watching Jason Patric and I felt so sorry for his character, but then, it took a strange turn and I wasn't sure what to think for a bit. The sex scene was pretty hot. He started showing his strengh after that but then, I felt even sadder for him in the end.
T**A
Wonderful modern noir
I'm an obsessive film noir fan, I grew up watching the genre and it's one of the reasons I became a film critic by trade and I've been searching for this film for years after seeing once by chance on late night TV. Jason Patric (one of the most undderated actors of his generation, I might add) gives what I think is his finest performance (with the exception of Rush and The Beast- two other great films I highly recomend). The film is this great blend of modern noir I highly, highly recomend this film- you wont be disappointed.
L**D
Punch-drunk Love
NB Afin de bien planter le décor, je vais commencer par jeter quelque lumière sur le roman ici adapté par James Foley, After Dark, My Sweet (1955) / La Mort viendra, petite (Rivages, 1991). Le film de James Foley n’adapte sans doute pas la meilleure œuvre de son auteur, et n’est sans doute pas non plus la meilleure adaptation d’un roman de Jim Thompson. Cependant, le film a des qualités, qu’il doit évidemment pour partie à sa source.Si Thompson jouit depuis longtemps d'une renommée certaine – aux États-Unis, Stephen King et James Ellroy ont chanté ses louanges à plusieurs reprises, ce qui ne lui a pas fait de mal – je ne suis pas persuadé qu'elle soit actuellement au plus haut. Après les adaptations cinématographiques l'ayant mis en valeur au fil des décennies, en France (Série noire d’Alain Corneau, d’après A Hell of a Woman / Une Femme d’enfer ; Coup de torchon de Bertrand Tavernier, d'après Pop. 1280 / Pottsville, 1280 habitants) et dans les pays anglophones (The Getaway / Guêt-apens de Sam Peckinpah, d'après L'Echappée ; The Grifters / Les Arnaqueurs de Stephen Frears ; The Killer Inside Me de Michael Winterbottom), son étoile semble pâlir quelque peu ces temps-ci. On ne peut que trouver cela bien dommage : le temps passe, certes, mais pas plus que Hammett, Cain, Chandler ou Goodis (liste non limitative), Thompson ne mérite d'être délaissé. L'alliage entre la plongée dans la conscience de ses personnages, la noirceur et l'empathie avec laquelle il contemple une humanité passablement grotesque se débattre avec son destin, le tout dans une langue relevée, voilà certaines des raisons pour lesquelles il faut continuer à aller à la découverte de cet auteur. Espérons que les nouvelles éditions de chez Rivages contribueront à faire qu'il ne sombrera pas peu à peu dans l'oubli dans nos contrées.After Dark, My Sweet a été publié en 1955, soit après deux années qui s'étaient avérées fastes pour Thompson. The Killer Inside Me / L’Assassin qui est en moi (1952) avait fermement établi tous les traits qui définissent la plupart des grands Thompson des années 50-60, par-delà certains des archétypes du roman noir (la femme fatale, les pigeons, etc) : la narration à la première personne, le type qui joue toujours au plus fin avec tout le monde et finit par être pris à ses propres pièges, et surtout - contrairement à la tradition des Hammett et Chandler, qu'il poursuit par ailleurs jusqu'à un certain point - le choix de personnages qui ne sont pas des citadins relativement sophistiqués, à commencer par la figure du privé à la Sam Spade ou Philip Marlowe, mais des habitants de petites villes plus ou moins malins, qui prennent tout d'abord leurs aises avec la loi (surtout lorsqu'ils sont censés la faire respecter), puis de grandes libertés avec elle, avant de s'engluer dans des zones grises entre vérité et mensonge, humanité et inhumanité.After Dark, My Sweet, toutefois, n'entre pas tout à fait dans cette série de livres. Ou plutôt, dans ses narrations à la première personne, il correspond à une variante : celle du personnage relativement jeune et innocent et/ou souffrant de (plus ou moins légers) troubles mentaux – en l'espèce, 'Kid' Collins, ancien boxeur échappé d'une institution, auquel s'intéressent Fay, une belle alcoolique, et son 'Uncle Bud'. Le plus souvent choisi pour pigeon au début du roman, le cave finit par se rebiffer, même s'il accepte parfois jusqu'au bout le rôle qu'on lui a assigné. On pourrait de prime abord croire que ce livre ne va pas être tout à fait au niveau des Thompson majeurs et sans doute ne fait-il partie des tout meilleurs. Et pourtant, la mécanique est ici aussi de précision. L'auteur ménage comme souvent ses effets, pas seulement en termes de révélations mais aussi dans la façon qu'il a d'installer le lecteur dans la voix du personnage pour petit à petit l'amener à épouser son point de vue. Lorsque les hypothèses paranoïaques du personnage se multiplient, le lecteur les accepte comme autant de pistes possibles. La fin, comme souvent avec Thompson, engage bien plus qu'une simple résolution et permet d'ouvrir sur des gouffres existentiels dont on comprend qu'ils ont été patiemment ouverts par le narrateur, parfois partiellement à l'insu du lecteur ou sans avoir l'air d'y toucher. On peut donc considérer que c'est avec une certaine maestria que Thompson fait défiler son histoire resserrée, avec son style apparemment moins relevé que dans d'autres livres. Bien sûr, les dialogues sont à l'occasion piquants, à l'image du personnage féminin qui les profère, mais après un début tonitruant de ce point de vue, on peut également se dire que la source se tarit un peu. En définitive, là aussi comme souvent avec les romans de Thompson que l'on peut de prime abord penser mineurs, on sort de la lecture de l'ouvrage avec une bien meilleure impression globale que ce que tel ou tel moment plus faible pouvait laisser espérer. En outre, si Thompson ne se départit jamais de son regard quelque peu narquois, il est véhiculé dans ce livre-là par d'autres moyens, montrant s'il en était encore besoin que cet auteur ne peut être résumé à ses deux ou trois titres les plus connus et qu'il avait décidément plus d'une corde à son arc.James Foley, qui a déjà pour lui d’être tombé amoureux du roman et d’avoir voulu l’imposer comme son nouveau projet alors que personne n’en ressentait particulièrement la nécessité, n’a qu’en partie réussi son adaptation. Manquant de point de vue fort, elle semble hésiter un peu ; contrairement à d’autres films de la vague du néo-noir du tournant de la décennie 80-90, elle ne recherche ni les archétypes du noir (le plus souvent citadin), ni le poisseux du film « bouseux », ni même vraiment la tension psycho-sexuelle alors très en vogue. Le réalisateur dit apprécier que l’on ait pu lui dire que son film est un noir solaire – il n’est évidemment pas le seul à l’avoir fait, et pour s’en tenir à Thompson Stephen Frears fait cela avec plus de talent dans The Grifters – mais il est vrai que c’est une de ses spécificités. On a pu reprocher à Michael Winterbottom d’alterner dans The Killer Inside Me entre édulcoration du roman et bouffées de violence complaisantes et un peu épate-bourgeois : ce n’est pas fondamentalement faux, mais je persiste à trouver des qualités à ce film (ainsi qu’à son adaptation du roman). Sans doute la présence de Casey Affleck en Lou Ford y est-elle pour beaucoup. Jusqu’à un certain point, cela est vrai aussi pour After Dark, My Sweet : finalement, c’est l’acteur choisi pour incarner le rôle principal qui permet malgré la regrettable édulcoration de la matière de départ d’emporter le morceau. Ce n’est pas que Jason Patric soit un grandissime acteur, car il ne l’est pas vraiment plus là que dans ses autres films. Mais la belle gueule révélée peu avant (notamment dans The Lost Boys / Génération perdue de Joel Schumacher, en 1987) arrive à plutôt bien jouer le semi-ahuri jamais complètement paumé, qui entend bien qu’on ne le prenne pas pour plus cave qu’il ne l’est réellement. Rachel Ward, et surtout Bruce Dern, accompagnent mieux que correctement ce numéro qui n’est pas à proprement parler de haut vol mais que Patric arrive à tenir à peu près de bout en bout ; c’est en tout cas bien dans ce film qu’il a réussi à s’étoffer notablement en tant qu’acteur. Foley voulait imposer Patric et il semblerait qu’il ait eu du mal : on peut se dire que d’autres y seraient parvenus au moins aussi bien avec une meilleure technique de jeu, mais je pense donc que sa prestation est véritablement à mettre au crédit du film. Il est dommage qu’il y ait ici et là quelques failles dans le scénario et la façon dont le réalisateur a choisi de l’incarner – le fait que le gamin n’ait une existence que relative dans le roman n’est pas très gênant par exemple, mais cela le devient nettement plus à l’écran : il est tellement sage comme une image qu’il n’existe presque pas ; la musique de Maurice Jarre semble presque toujours être à côté du film – mais rien qui remette en question le fait que l’on suit l’histoire sans déplaisir et que l’on trouve du charme à ces tribulations. Il reste que l’on repassera pour les gouffres dont je parlais plus haut : le cinéaste peine à les faire émerger au-delà des simples péripéties et des relations entre les personnages.Telle que sa filmographie se présente et tel qu’il se montre dans le supplément de l’édition Carlotta, on se dit que James Foley est un drôle de coco. Remarqué dès son premier film – Reckless (1984) – et surtout pour le 2ème – At Close Range / Comme un chien enragé (1986), avec Sean Penn et Christopher Walken – il enchaîne ensuite avec un opus qu’il n’aimait pas à l’époque car il lui a en partie échappé et qu’il dit aujourd’hui adorer – Who’s That Girl, véhicule pour la star Madonna (1987) – puis avec ce projet très personnel pour lui qu’est After Dark, My Sweet – et enfin avec une adaptation de la pièce de David Mamet Glengarry Glenn Ross / Glengarry (1992) au casting 6 étoiles qu’il arrive à maîtriser plutôt bien (dans lequel brillent particulièrement Jack Lemmon et Al Pacino). Et puis… plus grand-chose, pour ensuite s’enliser dans les sables et ré-émerger avec des cartons qui peuvent laisser perplexe (la série Fifty Shades). Ses films du début des années 90 sont donc sans doute la meilleure part de sa filmographie, et même si After Dark, My Sweet n’est pas un très grand « néo- noir », il prend sa place à côté des polars de l’époque que l’on a plaisir à revoir. Certes Jim Thompson attend toujours des talents d’un calibre un peu plus grand que celui d’un James Foley pour lui rendre totalement justice – en tout cas dans le cadre d’un film se déroulant aux Etats-Unis, en excluant les adaptations françaises – mais Foley n’a pas démérité, et on peut le remercier d’avoir essayé de s’y colleter quand tant aux Etats-Unis ne veulent surtout pas s’approcher d’une matière aussi peu aimable. Et d’ailleurs, à part le mal-peigné Peckinpah à une tout autre époque, il est intéressant de constater que ce sont deux Anglais – Frears et Winterbottom – qui sont allés aux Etats-Unis adapter Thompson. Tout au moins Foley aura-t-il essayé, même en ripolinant un peu…EDITION DVD OU BLU-RAY FRANCAISE CARLOTTA (2021)Carlotta propose le film pour la première en blu-ray, avec un master de très bonne qualité générale. VOSTF ou VF.Le supplément – un entretien d’une demi-heure avec Foley – est intéressant à plus d’un titre. Il montre le réalisateur assez fier de ce qu’il a fait, heureux d’avoir eu les mains libres pour concevoir le film et d’avoir pu travailler avec ces acteurs-là. Il assure que le film lui ressemble beaucoup et qu’il suffit de le voir pour le connaître, lui. Sans doute avait-on exagéré la promesse que représentait un film comme At Close Range à l’époque de sa sortie, et il a été assez vite clair que Foley ne ferait pas partie de la relève la plus intéressante du cinéma américain des années 90 et 2000 – cela dit, on constatera d’autant mieux en l’entendant parler que s’il a des limites en tant que cinéaste il a l’air très sincère et qu’il aurait pu avoir en lui plus de films de ce type, sans doute pas géniaux mais conçus par quelqu’un d’honnête et aimant son travail.Ma note globale serait de 3,5 environ.
F**Z
jim thompson au cinéma...
En général, les cinéphiles s'accordent à reconnaître que les années 90 furent du pain béni pour le renouveau du néo-noir (genre mêlant le polar, une enquête, un meurtre sordide, un pigeon, une femme fatale et enfin une descente aux enfers). Ces films sont plus ou moins remarquables, reconnaissons-le, mais certains, je trouve, ont très mal vieilli. Beaucoup furent hélas aussi de gros ratages, exploitant le sensationnel et un certain goût pour l'exhibition putassière. Le matériau de base est souvent un roman. Les auteurs ? James Lee Burke, Donald Westlake ou encore Jim Thompson. Indiquons quelques exemples d'adaptations cinématographiques de ces années-là : de Hot Spot de Dennis Hopper à U-Turn d'Oliver Stone, en passant par Détour vers l'Enfer de Jeffrey Reiner, Kill Me Again et Last Seduction de John Dahl, Basic Instinct de Paul Verhoeven, sans oublier Fargo des frères Coen, Lost Highway de David Lynch ou encore Romeo is Bleeding de Peter Medak... Projeté en salle en août 1990, After Dark, My Sweet s'inscrit bien sûr dans cette veine (1). Son réalisateur, James Foley, on ne le confondra pas avec le tristement célèbre James Foley journaliste de sa profession et zigouillé en 2014 par un soi-disant État... Le James Foley cinéaste, je ne suis même pas sûr que ça dise quelque chose aux cinéphiles avérés. Un tour d'horizon sur sa carte de visite et la déception guette. Très vite on découvre, ô stupeur, que c'est le même qui a réalisé, dans les années 2016-2017, deux longs-métrages dédiés à la suite de 50 nuances de gris. Mais sa filmographie ne saurait sans doute se réduire à ces gros bides. After Dark, My Sweet ne fait pas dans le voyeurisme primaire. Il met en scène un vagabond, comme dans Le Facteur sonne toujours deux fois (le roman de James M. Cain a été adapté au moins trois fois au cinéma...). Autrefois boxeur professionnel, Kevin Collins (incarné par Jason Patric, acteur dont j'ai pu apprécier l'interprétation dans Rush puis dans Narc , deux polars plutôt dignes d'intérêt) erre sur les routes du Sud des États-Unis, après s'être évadé d'un hôpital psychiatrique. Baluchon sur les épaules, mal rasé, en sueur, il est à la recherche d'un emploi. Il arrive à une petite bourgade. Coin paumé. Quasi-désertique. Le film se base sur un roman de Jim Thompson ( La mort viendra, petite , chez Rivages Noir). Et ça, ça n'est pas rien. Et, on les compte sur les doigts d'une main les adaptations réussies de Jimmy. Pour moi, il y en a au moins quatre : Guet-Apens de Sam Peckinpah (avec Steve McQueen et Ali McGraw), Série Noire d'Alain Corneau (avec un Patrick Dewaere inoubliable), Coup de Torchon de Bertrand Tavernier (avec Philippe Noiret, Jean-Pierre Marielle et Isabelle Huppert) et enfin Les Arnaqueurs de Stephen Frears (avec Angelica Huston, John Cusack et Annette Bening). Quand, à Hollywood, un type s'attaque à l’œuvre de Jim Thompson, on ne peut pas dire que ça passe inaperçu. Encore faut-il le talent qui va avec. Les romans de Jim Thompson que je recommande par ailleurs mettent en scène de petites gens qui se croient malins, jouant avec la loi (ce qu'il est permis de faire ou de ne pas faire). Mais le plus souvent, ces individus dépassent les limites et l'on en voit les conséquences.Hélas, avec ce film projeté en salle aux États-Unis uniquement (eh non, le film n'est jamais sorti en France...), on frise la catastrophe. Le casting d'abord. Jason Patric s'en sort plutôt bien. Mais l'aspect psychologique de son personnage est à peine esquissé. Rachel Ward n'est pas à son avantage non plus, en femme alcoolique. Dommage que son talent ne soit pas davantage exploitée ici (qui ne l'a pas admirée dans Les Cadavres portent des costards , très bonne parodie du film noir ?). Son personnage est ici trop prévisible et si peu attachant. C'était donc une aubaine, à priori, que de trouver ce film chez Carlotta. Certains commentaires sont éclairants, notamment quand l'un de d'eux remarque à juste titre que « le film manque de point de vue fort ». C'est là que le bât blesse en effet. Le film « semble hésiter un peu ; contrairement à d’autres films de la vague du néo-noir du tournant de la décennie 80-90 ». Très juste aussi cette remarque : le film « ne recherche ni les archétypes du noir (le plus souvent citadin), ni le poisseux du film bouseux, ni même vraiment la tension psycho-sexuelle alors très en vogue. Le réalisateur dit apprécier que l’on ait pu lui dire que son film est un noir solaire – il n’est évidemment pas le seul à l’avoir fait, et pour s’en tenir à Thompson, Stephen Frears fait cela avec plus de talent dans The Grifters – mais il est vrai que c’est une de ses spécificités. » La mise en scène m'est apparue très lisse, sans grande originalité. Et sur le plan esthétique, ça n'est pas folichon. On ne s'attache aucunement à ces personnages. Ce qui est bien dommage. Pour moi, ce film est un semi-échec. Un peu dommage. Mais bon, c'est un film qu'on peut voir.____________________________________________(1) After Dark, My Sweet est sorti quelques semaines avant Les Affranchis de Martin Scorsese et The King of New-York d'Abel Ferrara (tous deux projetés en salles en septembre 1990)... Hot SpotU-TurnDétour vers l'EnferKill Me AgainLast SeductionBasic InstinctFargoLost HighwayRomeo is BleedingAfter Dark, My SweetAfter Dark, My SweetLe Facteur sonne toujours deux foisRushNarcLa mort viendra, petiteGuet-ApensSérie NoireCoup de TorchonLes ArnaqueursLes Cadavres portent des costardsAfter Dark, My SweetLes AffranchisThe King of New-York
D**A
triller
bon film mais je n' ai jamais vu avant en vhs cassette et le colis est bien emballé.
P**D
Underrated 90s noir
No uk release so you're importing from france if you want it on blu ray and you do want it on blu ray.Great performances and adapted from an equally great jim thompson novel.
B**R
Jim Thompson adaptation
If it had had captions the experience would have been much better, since I'm hard of hearing. Great acting from Dern and Patric.
Trustpilot
3 weeks ago
1 week ago